La 2ème Édition de l’atelier nationale d’information et de formation sur l’utilisation du centre d’échanges en matière des risques biotechnologiques, s’est tenue récemment à Libreville.
Ces assises de Libreville, ont permis aux participants de renforcer leurs capacités sur le centre d’échange lié au Protocole de Cartagena relatif aux risques biotechnologiques sur la diversité biologique et la santé humaine et animale. les risques biotechnologiques apparaissent comme la conséquence d’une mauvaise manipulation des Organismes Vivants Modifiés (OVM).
Il est donc nécessaire de mettre en place un comité sur la biosécurité regroupant les opérateurs concernés par cette thématique, ainsi que les administrations qui détiennent la donnée, notamment, la douane, l’agriculture et l’élevage, les industriels, le monde de la recherche scientifique et l’éducation, afin d’analyser les procédures à mettre œuvre et les conditions que le Gabon peut exiger en cas d’importation.
« Le Gabon est au même niveau que les autres pays. On ne sait pas encore si les OVM sont utilisés ici car le échanges devrait se faire en interne et en externe », Selon madame Chantal ANDRIANARIVO, conseiller régional du projet BCH3 auprès du PNUE et formateur.
Le protocole de Cartagena donne des obligations aux pays qui ont ratifié de mettre en place un centre d’échanges sur la biosécurité et leur donne les moyens financier et technique afin de mettre à disposition des autres pays, des informations concernant l’introduction et l’utilisation des OGMs.
MEEL